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Seine-et-Marne. "Personne ne connaît vraiment les conditions de vie des réfugiés"

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Le photographe souhaite montrer l'inhumanité de la condition de vie des migrants

Le photographe souhaite montrer l’inhumanité de la condition de vie des migrants (©InfoMigrants)

« Personne ne voudrait être à notre place. Nous n’avons pas choisi cette situation, de vivre dans la rue, sans rien, sans même ne serait-ce que de l’eau potable ». Abdul Sabbor ne veut pas faire pleurer dans les chaumières. Le photographe souhaite seulement porter à la face du monde l’inhumanité de la condition de vie des migrants. Arrivé à Paris en octobre 2017 après trois ans de voyage, ce jeune Afghan de 25 ans a traversé de nombreux pays. Il faut dire qu’il n’avait guère le choix, recherché par les talibans qui ont tenté de le tuer. « En Afghanistan, je travaillais pour l’armée américaine. Je voulais me réfugier aux États-Unis mais ma demande restait en attente. Devant l’urgence de la situation, j’ai dû partir », raconte-t-il. Et d’ajouter : « Aujourd’hui, je vis avec l’angoisse de peut-être ne plus jamais revoir ma mère et toute ma famille restées au pays. Peut-être sont-ils morts. Je ne sais pas. Je n’ai aucune nouvelle. »

La mort dans l’âme, Abdul Saboor entame un premier voyage il y a trois ans, via le Pakistan. Mais, arrêté en Iran où il est placé pendant un mois en prison, le réfugié est reconduit à la frontière. « J’ai repris un second voyage avec le même itinéraire. En Iran, on a tiré sur notre voiture. Mais j’ai réussi à rejoindre la Serbie où j’ai également été envoyé derrière les barreaux. J’ai dû quitter la Serbie pour la Croatie, Italie et, enfin, la France. »

C’est dans un camp, en Serbie que lui vient l’idée de photographier le quotidien des migrants arrivé. « La communication avec les autres réfugiés était difficile. Nous parlions des langues différentes. Quand je n’étais pas capable d’expliquer par des gestes ce que je voulais exprimer, je montrais des photos. Et on se comprenait. La photo est un langage universel. »

Avec ses clichés, Abdul Saboor veut évoquer la situation dans les Balkans. « Les gens ne vous voient pas comme des êtres humains. En Bulgarie, par exemple, nous avons été dénoncés à la police. Les gens n’ont pas cherché à nous parler et à nous demander pourquoi nous étions là. Personne ne sait ce que c’est que d’être réfugié. Personne ne connaît vraiment les conditions de vie des migrants. » Et de conclure : « Certains sont chanteurs, musiciens, acteurs. Je veux montrer leurs talents et prouver qu’ils sont intéressants. »

 

Vanessa RELOUZAT

@VanessaRelouzat

Renseignements

Exposition dans le hall du Théâtre-Sénart, à Lieusaint, jusqu’au 29 novembre. Rencontre avec Abdul Saboor, le samedi 24 novembre à 17h. tél. : 01 60 34 53 60.


Seine-et-Marne. Encore un grand nettoyage des déchets en forêt de Fontainebleau

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Rendez-vous mercredi !

Rendez-vous mercredi ! (©La Rep 77)

Une semaine après le grand événement organisé par la ville qui a mobilisé 200 bénévoles,  nouveau rendez-vous de ramassage des déchets en forêt de Fontainebleau est organisé ce mercredi 28 novembre, cette fois à l’appel de l’association des Amis de la Forêt de Fontainebleau, en partenariat avec ONF, le SMICTOM de la Région de Fontainebleau.

Le rendez-vous est fixé à 9 h 30 au carrefour de l’Epine Foreuse, D115

Val-d'Oise. La police municipale de Magny-en-Vexin s'étoffe

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L'équipe de la police municipale magnytoise.

L’équipe de la police municipale magnytoise. (©La Gazette du Val-d’Oise)

La police municipale de Magny-en-Vexin (Val-d’Oise) se compose actuellement du brigadier chef principal Gilles Lépine, chef du service de la police municipale, qui est arrivé dans la commune en février 2013, d’une brigadière, qui est agent de police municipale depuis 2002 et est arrivée en octobre dernier.

Tous deux sont armés. Deux agents de surveillance de la voie publique (Asvp) sont venus les rejoindre à la mi-octobre pour un stage de six mois.

La zone bleue réactivée

La zone bleue a été réactivée afin que chacun puisse profiter un moment de places de stationnement gratuites, à condition de mettre un disque de stationnement européen que l’on peut trouver à la papeterie place Potiquet … ainsi que l’Écho le Régional, puisque la commune a perdu sa maison de la presse.

La zone bleue permet une meilleure rotation des voitures et évite la présence de véhicules ventouses. Par ailleurs, les stationnements dangereux sont passibles d’une contravention, tout comme le stationnement sur une place réservée aux personnes handicapées.

R.D.

Nord. Trio familial de choc pour continuer le combat de Wonder Augustine

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Sylvie, entourée de ses deux enfants Arnaud et Morgane, prépare les colis solidaires.

Sylvie, entourée de ses deux enfants Arnaud et Morgane, prépare les colis solidaires. (©DR)

Comment collecter de l’argent pour un projet ? Il faut des idées, et du dynamisme. Sylvie Delroisse et ses enfants, du Pas-de-Calais, s’engagent pour l’association Wonder Augustine en vendant des licornes.

Sylvie Delroisse et ses deux enfants, Arnaud et Morgane, ont retroussé leurs manches pour aider l’association Wonder Augustine depuis octobre 2018. Et ce n’est pas qu’une expression, car il faut de l’endurance et un peu de muscle pour gérer !

A lire aussi : Wattrelos. Plus de 1000 ballons en hommage à Augustine

La recherche sur les cancers pédiatriques passe aussi par des initiatives privées. L’idée de Sylvie : vendre des produits dont les bénéfices sont entièrement reversés à l’association.

Après 3 AVC

Sylvie habite à Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais. Elle a fait 3 AVC (accidents vasculaires cérébraux) en février 2018, elle doit encore subir une petite opération en janvier 2019. Cela fut le déclic.

Après être passée par là sans aucune séquelle, je me suis demandé pourquoi j’étais encore vivante, à part pour mes enfants. Et je suis tombée sur l’histoire d’Augustine. Je me suis dit : ’J’ai compris…’ »

Elle contacte Steeve De Matos, président de Wonder Augustine, qui lui donne son accord. Son idée : proposer à la vente des porte-clés en forme de licornes, qu’aimait tant la petite Augustine.

A lire aussi : Contre les cancers pédiatriques, il faudra se contenter de 5 millions d’euros

Son fils Arnaud crée le site internet fin octobre 2018, en 3 heures ! Il est en formation professionnelle de web designer à Béthune.

Attention, ce n’est pas du commerce. C’est une manière de permettre un don rapide, pour tous les budgets, et d’avoir en retour un objet symbolique. La licorne, c’est ce qu’aimait la petite fille. En achetant ce porte-clés, une partie d’elle est auprès des gens… », explique Arnaud Beaugeon.

Une licorne spéciale Noël

« En 17 h, nous avions 2 000 licornes de vendues ! » Ce qui fait près de 6 500 € pour Wonder Augustine ! Le site a dû fermer quelque temps pour gérer les envois postaux. Il a rouvert le 10 novembre 2018, et en est à presque 2000 porte-clés vendus.

« Une licorne spéciale Noël sera mise en vente dès le 1er décembre, de couleur rouge », annonce notre maman solidaire.

Pour les fans de Dany Boon, le visage de Sylvie ne vous sera peut-être pas étranger. Elle a suivi l’artiste nordiste dans de nombreux déplacements et ses tournages. Elle a même fait de la figuration dans « Un plan parfait », « Eyjafjajokull », « Raid dingue » et « La ch’tite famille ».

La licorne de Noël sera mise en vente dès le 1er décembre 2018.

La licorne de Noël sera mise en vente dès le 1er décembre 2018. (©DR)

Les licornes sont au prix de 6 €. Vous trouverez aussi badges (2 €), tee-shirts (12 €), bracelets (5 €). Site : wonderaugustine.fr

De nouvelles illuminations de Noël à Vire Normandie

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 Le coup d’envoi des illuminations de Noël à Vire Normandie sera donné le vendredi 30 novembre.

Le coup d’envoi des illuminations de Noël à Vire Normandie sera donné le vendredi 30 novembre. (©La Voix le Bocage. )

Comme chaque année, des illuminations de Noël ont été installées dans la ville ; comme chaque année, elles vont briller quand la nuit posera ses valises sur la ville (plus ou moins endormie) et comme chaque année nous allons en parler ! Oui, mais, cette année, il y a du nouveau !

Des rues ont été revues : l’Avenue du Général Leclerc a de nouvelles décorations et un plafond lumineux a été acheté pour la rue Saulnerie, explique Régis Picot, adjoint en charge de la promotion et de l’animation de la ville. Nous essayons de donner une unité à la ville en la colorant en bleu et blanc, ajoute l’élu.

Cette année, les arbres de Sainte-Anne auront un nouveau un filet de couleur et « les étoiles de la rue Sainte-Anne ont été refaites », souligne Régis Picot. Quant à l’Avenue du Général de Gaulle, des supports lumineux seront installés un lampadaire sur deux. Pour la toute première fois, le rond-point de But (il n’a pas encore de nom !), Avenue de Bischwiller, sera illuminé.

Chaque année, c’est un budget d’environ 16 000 € qui est alloué aux illuminations de Noël.

Le coup d’envoi des illuminations de Noël sera donné le vendredi 30 novembre.

A LIRE AUSSI : Le programme des festivités de Noel à Vire Normandie dévoilé. 

Toulouse : pour contrer le Black Friday, deux entreprises toulousaines participent au Green Friday

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Face au Black Friday, le Green Friday privilégie l'économie sociale et solidaire.

Face au Black Friday, le Green Friday privilégie l’économie sociale et solidaire, vendredi 23 novembre 2018. (©Facebook/Green Friday)

Alors que le Black Friday se déroule vendredi 23 novembre 2018, une initiative allant à son encontre a été mise en place depuis l’année dernière : le « Green Friday ». De nombreuses entreprises se sont intégrées à cette « philosophie pour une consommation responsable et raisonnée ». Un projet initié en 2017 par le réseau d’entreprises d’économie sociale et circulaire Envie. 

Diagnostic offert et ateliers conseils

Alors, forcément, le magasin Envie de Toulouse (29 boulevard de Thibaud) contribue à cette deuxième édition. « Cela fait partie du rôle et de l’ADN d’Envie de participer à cela, de lutter contre la surconsommation », explique Cindy Heronville, la responsable du magasin. L’année dernière, de simples portes ouvertes avaient été organisées. Vendredi, l’enseigne pousse un peu plus loin en effectuant un geste commercial : le diagnostic de réparation sera offert, contre 39€ habituellement. En revanche, le devis de réparation reste payant et aucun appareil ne sera réparé dans la journée. 

LIRE AUSSI : Toulouse : contre la surconsommation, des militants se mobilisent contre le Black Friday

Des ateliers ludiques seront également mis en place afin de « donner des tuyaux pour la réparation et d’expliquer des gestes simples ». Trois sessions d’une demi-heure sont prévues à 10 heures, 14 heures et 15 heures, pour inciter les consommateurs à réparer plus que remplacer.

Découvrir la deuxième vie des livres

Une deuxième enseigne toulousaine s’est inscrite au mouvement : RecycLivre. Elle aussi intégrée dans un réseau national, l’entreprise propose une collecte et une vente de livres d’occasions. Ce mouvement écocitoyen reverse 10% de ses bénéfices à des associations et des programmes d’action de lutte contre l’illettrisme et en faveur de l’accès à la culture. Situé au 37 chemin de Lapujade, Recyclivre Toulouse propose une journée portes ouvertes de 9 heures à 17 heures, pour découvrir cette initiative. 

Le Salon Habitat ouvrira le bal du nouveau Juraparc à Lons-le-Saunier

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Vendredi 23 novembre, Juraparc accueillera ses premiers visiteurs.

Vendredi 23 novembre, Juraparc accueillera ses premiers visiteurs. (©Joffrey Fodimbi)

Incendié en 2015, Juraparc vient d’achever sa reconstruction après plus d’un an de travaux. Un événement attendu de tous, et plus particulièrement de Philippe Puyfagès, directeur de la régie publicitaire du Progrès et organisateur du Salon Habitat, qui du 23 au 25 novembre 2018, inaugurera le bal du nouveau parc. « Nous organisons ce salon depuis 2003 ; depuis trois ans, afin de continuer à l’organiser, nous nous installions sous des chapiteaux, sur le parking, puis sur le stade Dumas », se souvient-il.

À l’annonce, l’année dernière, du retour de Juraparc pour fin 2018, l’envie d’y retourner s’est donc fait sentir pour l’organisateur du salon.

« En février dernier, nous sommes donc allés voir Jacques Pélissard pour lui faire part de notre envie d’y retourner, et il nous a confirmé en avril la possibilité d’investir les lieux pour notre salon. Mais il est certain que nous marchions sur des œufs. Fin août, nous avons commencé à être rassurés, lorsque nous avons vu que le chantier était dans les délais. »

« Nous allons servir de cobaye »

Fier d’inaugurer les lieux avec ce salon, Philippe Puyfagès se sait attendu : « les Lédoniens ont soif de découvrir ce nouveau Juraparc, et la municipalité, accompagnée des services techniques, sont sur le pont pour pouvoir tout tester ; nous allons servir de cobaye c’est sûr. »

Mais alors, ce nouveau Juraparc est-il à la hauteur des attentes ? « Niveau logistique, tout est plus facile. Le sol est nivelé, ce qui permet une mise en place plus facile ; il y a des trappes électriques partout, et une plus grande sécurité. La salle n’est guère plus grande, mais très bien optimisée, avec des plafonds très haut. Le changement n’est pas radical, et la salle semble plus adaptée à des concerts qu’à des salons, mais nous sommes très contents d’y retourner car nous avons beaucoup souffert de ces trois années sous les chapiteaux. »

Verdict ce week-end donc, pour voir si les Lédoniens seront au rendez-vous pour (re)découvrir leur Juraparc.

[VIDEO] La charpente de Juraparc mise en place à Lons-le-Saunier

Juraparc, le phœnix renaît de ses cendres à Lons-le-Saunier

Il est encore temps de s'inscrire pour le trail de Toulouse et ses vues à couper le souffle

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Le trail offre une vue imprenable sur Toulouse. (©Trail Toulouse Métropole)

Il est encore temps de s’inscrire ! Au menu : une vue imprenable sur la Ville rose et la Garonne, des passages pittoresques, des portions techniques, boueuses et sauvages en forêt, une campagne très vallonnée, un beau panorama sur les Pyrénées

Des vues à couper le souffle

La sixième édition du Trail Toulouse Métropole aura lieu le dimanche 25 novembre 2018. Dawa Dachhiri Sherpa sera l’invité exceptionnel de cette nouvelle édition.

Deux parcours sont proposés : le 50 kilomètres et le Trail des Buttes (15 kilomètres).

Un relais vintage

Le trail peut être effectué en solo, en duo ou en relais de quatre (10.4km + 11km + 19km + 8.5km + 1.1km de relais commun).

Cette année encore, le relais sera vintage ! Les coureurs de l’équipe la plus étonnamment déguisée en mode vintage seront récompensés.

Infos Pratiques :
Trail Toulouse Métropole. Le 25 novembre. Départ et arrivée : salle Jean Mermoz. Le 50 kilomètres (à 8h). Le Trail des Buttes (à 9h30).
Inscriptions jusqu’au 23 novembre, à 17h, en ligne via GéoFP et le 24 novembre, de 10h à 19h, chez Running Conseil Balma. Pas d’inscription le jour de la course. www.cosatrail.com/trail-toulouse-metropole
Tarif : 39 euros le 50 kilomètres ; 18 euros le 15 kilomètres


Quatre athlètes de Meaux au marathon d’Athènes

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Quatr epensionnaires de l'Athlétique Club du Pays de Meaux ont participé au marathon d'Athènes.

Quatre pensionnaires de l’Athlétique Club du Pays de Meaux ont participé au marathon d’Athènes. (©La Marne)

Une aventure extraordinaire, tant sur le plan sportif qu’humain. Voilà ce qu’ont vécu quatre courageux athlètes de l’Athlétique Club du Pays de Meaux, le 11 novembre dernier en participant au marathon d’Athènes.

Une épreuve des plus difficiles, sur une terre on ne peut plus symbolique, la Grèce, où se sont déroulés les tout premiers Jeux Olympiques.

De Marathon jusqu’au Stade Olympique

La délégation meldoise, menée par Frédéric Vicart, président du club d’athlétisme de Meaux, n’ avait encore jamais couru de marathon à l’étranger. Sonia Lambert s’était lancée le défi de réaliser l’épreuve avec ses acolytes.

Les voilà donc prêts à partir sur ce long parcours reliant le site historique de Marathon à celui du stade olympique d’Athènes.

A lire aussi : au coeur du sport. Najette Rezeg (athlétisme Meaux)

Frédéric Vicart, au club depuis 2004, est le plus expérimenté. Il compte à son actif une trentaine de participations à des marathons. Il terminera ses 42 km en terre grecque avec un superbe temps de 3 h 47, lui permettant de se placer à la 2128e place, sur 18 000 athlètes. 

« Je ne fais pas ça pour la performance, nous avons tous les quatre terminé la course et c’est ce qui compte. Le parcours était exigeant avec 18 km de montée, il ne fallait pas s’user car la deuxième partie de course était difficile.C’est un superbe souvenir, nous avons pu courir avec pleins d’athlètes de différentes nationalités. Participer à une telle course, cela donne des idées aux autres, il y a de l’émulation. Les gens s’intéressent de plus en plus à la discipline du marathon. 

Ses collègues n’ont pas démérité. Notamment Sonia Lambert, qui participait à son premier marathon, et a obtenu la 8246e place avec un chrono de 4 h 45, devant Maria Mostacchi (5 h 02) et Emmanuelle Gambardella (5 h 27).

Divisés sur la stratégie, les Gilets jaunes du pays de Fougères cherchent un second souffle

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Les Gilets jaunes, au rond-point de la Pilais, samedi dernier.

Les Gilets jaunes, au rond-point de la Pilais, samedi dernier. (©Chronique républicaine)

L’appel lancé début novembre par les Gilets jaunes du pays de Fougères a connu, samedi dernier, un indéniable succès.  

Depuis, les Gilets ont été beaucoup moins visibles, tout en occupant le terrain. Des actions sporadiques se sont poursuivies à Fougères, Saint-Sauveur-des-Landes (barreau de l’A 84 et zone de Plaisance), Maen Roch-Saint-Etienne (échangeur de l’A 84), Liffré (plate forme Lidl et McDonald’s).

Une série d’actions menées à chaque fois par de petits groupes qui, visiblement, naviguaient à vue.

Depuis dimanche d’autres Gilets jaunes ont continué à occuper le rond-point de la Hayais, au carrefour de la route Fougères-Vitré et de la rocade de Fougères.

Ils ont cessé leur action mercredi, tout en promettant de nouvelles actions dans les prochains jours. Une décision qui est survenue après cinq jours de présence, et au moment où de plus en plus de voix s’élèvent contre la manière de faire du mouvement, dans le Pays de Fougères.

« Trop de choses faites dans tous les sens »

Les débats ont été nourris, aussi, chez les Gilets jaunes eux-mêmes. C’est ce que résumait Florian, l’un de leurs chefs de file, mercredi soir :

Mercredi soir, il regrettait la « discorde dans le groupe d’organisations (…), tout le mouvement de départ est en train de perdre son panache et sa crédibilité, trop de choses faites dans tous les sens et surtout qui n’ont à mon goût aucun sens. »

Florian, qui avait notamment animé l’assemblée générale de vendredi dernier à  l’Aumaillerie, explique :

Nous avons commencé ce mouvement pour nous battre contre ce gouvernement qui nous écrase et pour montrer au gens que nous étions là pour faire passer un message. Il aurait fallu changer de stratégie déjà depuis deux jours, chose que j’ai essayé de faire avec les autres organisateurs. Seulement les gens s’entêtent à ne faire que des actions qui ne servent à rien, et surtout qui emmerdent le peuple, ce qui nous vaut de nous mettre à dos les gens. Pour ma part ça n’a plus d’intérêt de continuer ainsi si les actions prochaines ne sont pas plus organisées et concrètes… « 

Nombreux ont aussi été les appels à un fonctionnement plus « démocratique » du mouvement : « il faut voter démocratiquement les décisions, à main levée lors des réunions. Faire comme dans les grèves, des assemblées générales, ça serait mieux » plaide Cristelle sur Facebook.

Sauf que pour d’autres « on ne peut pas prendre les idée de tous le monde. Nous sommes 500 donc il faudrait voter les décisions, ce qui ferait perdre du temps dans les blocages « .  

Actions samedi ? Une réunion ce vendredi pour en parler

Bref, les Gilets cherchent un second souffle. Ce que résume Karibou Venderstylen, toujours sur Facebook, à l’origine d’une assemblée générale ce vendredi 23 novembre, à 19 h place Aristide-Briand à Fougères :

On va tout remettre au propre pour samedi, plus de clan, plus de groupe, tous ensemble !!!  On ne parlera que de nos revendications et organiserons la journée de samedi, pour que ça se passe au mieux sans conflits ni dégradations. Ne donnons pas au gouvernement ce qu’il attend pour nous disperser… mot d’ordre bonne humeur et dialogue dans le respect ! « 

Une délégation a aussi été reçue par le sous-préfet Richard-Daniel Boisson, jeudi après midi.

Départ de l'UBB, Parra, Thomas, mal-être... Les confessions très fortes de Baptiste Serin

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Le demi de mêlée du XV de France et de Bordeaux-Bègles, Baptiste Serin.

Le demi de mêlée du XV de France et de Bordeaux-Bègles, Baptiste Serin. (©Icon Sport)

Durant cette tournée de novembre, Baptiste Serin s’est confortablement installé à la mêlée du XV de France. Trois matches, pour autant de titularisations : le voilà revenu au meilleur des moments dans la course pour décrocher un billet dans l’avion qui mènera les Bleus au Japon en septembre prochain pour le Mondial.

LIRE AUSSIBaptiste Serin sur sa signature à Toulon : « Un choix long, réfléchi et compliqué »

Dans Midi Olympique, le futur joueur de Toulon s’est confié. Sans chichi. Des mots forts, bien pensés et la volonté de ne se cacher derrière rien.

« J’avais en moi une sorte de mal-être »

Serin (24 ans ; 22 sélections) a par exemple reconnu qu’il avait passé une très mauvaise période à Bordeaux-Bègles l’an passé. Méconnaissable sur le terrain, auteur de performances bien loin de son niveau, il n’a pas hésité à qualifier cette dernière saison de « nulle » : 

Mentalement, c’était difficile. Je voyais tout le monde me passer devant. Surtout, je les voyais me dépasser sans que je puisse jouer, ce qui m’agaçait encore plus… J’avais en moi une sorte de mal-être. J’avais l’impression d’être impuissant. J’étais focalisé sur une préparation physique qui ne m’allait pas du tout. Je faisais trois actions, j’étais mort. Ça ne m’était jamais arrivé de toute ma carrière.

Serin a retrouvé le sourire lors de la tournée des Bleus en Nouvelle-Zélande, et ce malgré trois défaites. Il avoue s’être très bien entendu avec Morgan Parra, concurrent au poste de numéro 9 en sélection. Il estime avoir « accroché » avec le Clermontois au sujet duquel il ne tarit pas d’éloges :

J’ai découvert quelqu’un de génial en Nouvelle-Zélande. Ouais, j’ai vraiment accroché… Morgan m’a pris sous son aile. J’ai un peu retrouvé avec lui la relation que j’avais avec Heini Adams à Bordeaux. Morgan est beaucoup plus fort que moi sur le poste, il n’y a rien à dire : il compte 70 sélections, a disputé deux Coupes du monde, remporté deux Boucliers de Brennus…

« Je change parce qu’il est temps de quitter la maison »

Un XV de France au sein duquel il défend son coéquipier Teddy Thomas. L’ailier du Racing 92 avait été pointé du doigt pour avoir vendanger un incroyable surnombre lors de la défaite face à l’Afrique du Sud lors du premier test de novembre (26-29).

Serin regrette que Thomas ait pu « à ce point se faire tailler » : 

J’ai un avis très tranché là-dessus. D’une, ça me fait beaucoup de mal qu’on ait pu à ce point tailler Teddy. De deux, des joueurs comme Teddy Thomas dans le rugby français, ça se compte sur les doigts d’une main. […] Cette action dont vous parlez, elle n’aurait même pas dû exister. Qui aurait pu casser six plaquages comme il l’a fait ? S’il gagne son duel, tout le monde dit que c’est un monstre.

Enfin, il est revenu sur son futur départ à Toulon. Et son choix de quitter Bordeaux-Bègles, « sa maison ». Un club qu’il n’oubliera pas, c’est une certitude :

LIRE AUSSIBaptiste Serin a choisi : il va rejoindre Toulon !

Je savais que tôt ou tard, je quitterais le club. J’avais envie de changer de monde et de sortir de mon cocon. Je ne pars pas parce qu’il y a un projet de merde à Bordeaux ou parce que le club est instable. Non. C’est mon histoire. C’est l’histoire de ma vie. Je change parce qu’il est temps de quitter la maison. […] Laurent Marti, l’UBB, je ne les oublierai jamais.

Seine-et-Marne. Jean-François Derek : "ma maison à Saint-Sauveur-sur-Ecole, c'est un nid protecteur"

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A Saint-Sauveur, l’acteur a son «  cocon, un nid protecteur, même partir en vacances est compliqué tellement on y est bien »

A Saint-Sauveur, l’acteur a son «  cocon, un nid protecteur, même partir en vacances est compliqué tellement on y est bien » (©Philippe Hanula)

La Rep : Comment vous est venue l’idée du sujet de votre spectacle ?
Jean-François Derek : Par un concours de circonstances. Il existait dans Paris Match, une rubrique qui s’appelait « Le jour où … » qui consistait en l’annonce par quelqu’un de connu, d’un événement généralement dramatique de sa vie et de la manière positive dont il s’en sortait. Du coup, je trouvais très marrant de parler de ma découverte de mes origines. Des amis ont trouvé cela drôle et m’ont conseillé de raconter ma vie, et j’ai écrit un roman autobiographique.

Justement comment s’est fait cette découverte ?
De manière très progressive, comme je le raconte dans mon spectacle. J’avais une dizaine d’années, nous habitions à Grenoble et je trouvais certaines choses bizarres. Par rapport à mes copains d’époque, nous n’avions jamais de famille qui venait à la maison, pas de cousins de cousines, mes parents qui roulaient un peu les « R » en parlant. Alors pour ne pas perdre la face, je m’inventais des cousines aventurières, une famille d’origine italienne pour expliquer l’accent, tout un tas de rêves de gosses. En fait je suis issu d’une famille juive polonaise, qui avait fui les pogroms et s’était réfugié en France. La guerre a créé chez mes parents un sentiment d’insécurité qui n’est jamais parti. Ils vivaient entre l’oubli du passé et la crainte de l’avenir. C’est ma petite copine de l’époque qui m’a ouvert les yeux de manière assez significative.

On se sent bien dans cette région, on connait toute les villes du coins

Mais n’est-il pas trop difficile d’aborder un tel sujet dans le climat actuel ?
Au contraire, je ne fait pas un spectacle militant. Je m’exprime à travers les yeux de l’enfant que j’étais à 10 ans. Il n’y a pas de provocations dans mon spectacle, juste une forme de nostalgie et le regret de n’avoir pas eu de grande famille avec des cousines à couettes (rires). Mais j’ai eu la joie d’avoir retrouvé un vieux copain, Georges Lavaudant qui a mis en scène mon spectacle à Avignon et aujourd’hui à Paris.

Pourquoi d’ailleurs vivre en Seine et Marne et ne pas être resté dans la capitale ?
J’ai eu le déclic dans les années 80 en voyant des bébés dans les poussettes le nez collé aux pots d’échappements. Je me suis dit que ce n’était pas une ville pour eux. On a écumé toute la région parisienne avant de trouver une maison à Dannemois. Mais quand on passait par Saint-Sauveur, il y avait cette maison qui nous faisait de l’œil. On a réussi à l’acheter, et on ne l’a jamais quitté. C’est un cocon, un nid protecteur, même partir en vacances est compliqué tellement on y est bien. On se sent bien dans cette région, on connait toute les villes du coins. Comme tout le monde on a nos adresses pour les courses et surtout au fil du temps on a su créer des amitiés, comme avec Henri Quinton. Chaque année, il organise son festival rock et si je suis dispo, je m’y rends toujours avec plaisir. En fait je suis passé de Grenoblois à Seine-et-Marnais sans trop de difficultés.

Renseignements
« Le jour où j’ai appris que j’étais juif », au Petit Montparnasse 31 rue de la Gaité 75014 Paris. Soirées du mardi au samedi 21 h, matinées dimanche à 15 h jusqu’au 19 janvier.

Val-d’Oise. Condamné à la prison ferme pour avoir avoir harcelé Cécile Duflot, le jeune homme d’Osny a récidivé

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L’ancienne ministre du Logement, ex-députée et secrétaire nationale Eelv s’est vue prescrire quatorze jours d’Itt après avoir été à nouveau harcelée par le jeune homme.

L’ancienne ministre du Logement, ex-députée et secrétaire nationale Eelv s’est vue prescrire quatorze jours d’Itt après avoir été à nouveau harcelée par le jeune homme. (©Côté Toulouse/AA)

« Si j’avais su que je causais un préjudice à madame Duflot, j’aurais tout de suite arrêté », déclarait Stephen au terme de l’audience il y a six mois. Un repenti qui n’aura finalement pas tenu.

Condamné en avril dernier à six mois de prison ferme pour avoir harcelé l’ancienne ministre du logement, Cécile Duflot, dont il était fou amoureux, le jeune homme de 20 ans domicilié à Osny (Val-d’Oise), a de nouveau été déféré en comparution immédiate, mercredi 21 novembre, après avoir récidivé. Il a demandé un délai pour préparer sa défense.

Messages scatologiques

Si lors de la première procédure Stephen devait répondre de 270 messages d’amour postés sur le compte Twitter de Cécile Duflot, mais également de Sms envoyés au numéro de téléphone du père de l’ancienne ministre, l’Onsyssois a cette fois-ci versé dans les messages scatologiques, précise Le Parisien.

Multipliant les appels malveillants, il n’a pas hésité à se rendre dans la société parisienne d’informatique pour laquelle travaille Cécile Duflot, mais également à son domicile où il a déposé des cartes postales.

Extrêmement choquée et craignant pour sa sécurité, l’ancienne ministre, qui s’est vue délivrer 14 jours d’incapacité psychologiques, a décidé de déposer une nouvelle plainte contre Stephen qui a été placé en garde à vue mardi 20 novembre.

Problème psychiatrique

Dans l’attente de son nouveau jugement en décembre, le jeune homme a été placé en détention provisoire. Lors de la première audience, son avocate, Me Philippine Parastatis, avait évoqué un « véritable problème psychiatrique ». Elle estimait par ailleurs que « rien n’a été mis en place après la première condamnation ».

Il avait déjà harcelé Laetitia Milot

En 2013, alors qu’il n’avait que 15 ans, Stephen avait harcelé de la même manière l’actrice de Plus belle la Vie, Laetitia Milot. En novembre 2017, il a été condamné à huit mois de prison, dont quatre avec sursis, pour avoir persécuté une surveillante et une enseignante de son lycée. Une peine à laquelle s’ajoutait deux mois fermes supplémentaires pour des menaces de mort sur l’enseignante.

En mal d'amour, une conductrice roulait avec 4,4 g d'alcool dans le sang, à Montpellier

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Au volant de sa voiture, une femme a été contrôlée avec 4,44 grammes d'alcool dans le sang, à Montpellier, mardi 20 novembre 2018.

Au volant de sa voiture, une femme a été contrôlée et arrêtée avec 4,44 grammes d’alcool dans le sang, à Montpellier, mardi 20 novembre 2018. (©Illustration / Archives / Côté Quimper)

C’est à se demander comment elle a fait pour prendre le volant. Une femme de 51 ans a été arrêtée lors d’un contrôle routier, à Montpellier, dans l’Hérault… avec 4,4 grammes d’alcool dans le sang, mardi 20 novembre 2018, a indiqué une source policière à Actu Toulouse.

Situation amoureuse compliquée

La quinquagénaire a été arrêtée dans le quartier Saint-Martin, dans le centre-ville. Elle a expliqué aux policiers qu’elle vivait très mal sa séparation amoureuse, et avait vidé une bouteille de rhum avant de prendre le volant, précise Midi Libre.

Fort heureusement, elle n’a causé aucun accident lors de sa conduite en (fort) état d’ivresse.

Son permis retiré

La conductrice a été remise en liberté, mais son permis lui a bien sûr été retiré, et pourrait faire l’objet d’une suspension pendant six mois. Affaire à suivre, lorsqu’elle recevra sa convocation devant le tribunal.

Nicolas Drusian

Le tournage de Meurtres en Cotentin a commencé dans la Manche

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Premier jour de tournage pour l'épisode Meurtres en Cotentin, à Gatteville- le-Phare (Manche), jeudi 22 novembre 2018.

Premier jour de tournage pour l’épisode « Meurtres en Cotentin », ce jeudi 22 novembre 2018 à Gatteville- le-Phare (Manche). (©Jean-Paul BARBIER/ La Presse de la Manche)

Le tournage va finalement durer un mois, explique l’équipe de production, rencontrée sur place ce jeudi 22 novembre 2018. K’IEN Productions était à Gatteville-le-Phare (Manche) pour la première journée du nouvel épisode annoncé de la série « Meurtres à… », diffusée sur France 3.

La réalisation a été confiée à Jérémy Minui. Au générique de ce prochain « Meurtres en Cotentin », il y aura notamment les acteurs Chloé Lambert, Lannick Gautry et Nicole Calfan.

A lire aussi : Cotentin : un casting ouvert pour jouer dans un téléfilm de France 3

Un corps dans l’étang…

Depuis 5 heures du matin ce jeudi, les techniciens se sont affairés le long de l’étang de Gattemare, à Gatteville donc, où allait s’enchaîner le tournage jusqu’à la tombée de la nuit, pour une scène de quelques minutes.

Dans cette scène, un corps va être sorti de l’étang. Avec la participation d’ailleurs, parmi les figurants, de vrais pompiers et gendarmes de la Manche.

Et ce tournage va se poursuivre jusqu’au 20 décembre. Ce vendredi 23 novembre, les caméras tourneront du côté d’Omonville-la-Rogue. Et pendant le week-end, la production prévoit de tourner en mer, si les conditions météo le permettent. Puis l’équipe ira à Saint-Vaast-la-Hougue, Barfleur, Cherbourg, Fermanville, Jobourg…

A lire aussi : La chèvrerie de Carneville mise à l’honneur par Elodie Gossuin sur 6ter


Le chef étoilé de La Plaine-sur-Mer, Mathieu Guibert, ne goûte pas au titre de Meilleur ouvrier de France 2018

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Mathieu Guibert s'est battu pour tenter de décrocher le titre de Meilleur ouvrier de France, jeudi 22 novembre 2018.

Mathieu Guibert s’est battu pour tenter de décrocher le titre de Meilleur ouvrier de France, jeudi 22 novembre 2018. (© archives Le Courrier du pays de Retz)

Chef du restaurant double étoilé Anne de Bretagne, à La Plaine-sur-Mer, près de Pornic (Loire-Atlantique), Mathieu Guibert participait pour la deuxième fois au concours Un des meilleurs ouvrier de France, mercredi 21 et jeudi 22 novembre 2018, au lycée hôtelier du Touquet.

Les résultats du concours ont été donnés dans la soirée du jeudi. Mathieu Guibert ne fait pas partie des sept nouveaux lauréats, dévoilés par Les nouvelles gastronomiques d’Alsace.

Voici la liste des Meilleurs ouvriers de France 2018 en catégorie cuisine et gastronomie :

  • Renaud Augier – La Tour d’Argent à Tokyo
  • Stephane Collet – Lycée hôtelier Saint-Martin à Amiens
  • Arnaud Faye – La Chèvre d’Or à Eze
  • Fabrice Gendrier – Lenôtre à Plaisir
  • Franck Putelat – La Table de Franck Putelat à Carcassonne
  • Julien Roucheteau – La Scène Thélème à Paris
  • Frederic Simonin – Frédéric Simonin à Paris

Regardez la vidéo de la proclamation des résultats du concours : 

Concours MOF … les 7 lauréats sont Renaud AUGIER – La Tour d’Argent à Tokyo Stephane COLLET – Lycée hôtelier Saint-Martin à AmiensArnaud FAYE – La Chèvre d’Or à EzeFabrice GENDRIER – Lenôtre à PlaisirFranck PUTELAT – La Table de Franck Putelat à CarcassonneJulien ROUCHETEAU – La Scène Thélème à ParisFrederic SIMONIN – Frédéric Simonin à Parisles discours sont un peu longs mais la fin est très belle en émotion ! Bravo aux nouveaux lauréats, on pense à ceux qui ont tout donné et n'ont pas démérité ! Renaud Augier Stephane Collet Arnaud Faye @fabrice gendrier Franck Putelat Julien Roucheteau Frederic Simonin Olivier Nasti Christophe Bacquie Alain Ducasse at Hotel Plaza Athénée Jean-Patrick Blin Jacques Maximin Anne Luzin Anne Garabedian François Adamski Felder Christophe Nadine Lemoine L'Hôtellerie Restauration Yoann Conte Joseph Viola

Geplaatst door Sandrine Kauffer op Donderdag 22 november 2018

Une déception pour Mathieu Guibert qui a travaillé d’arrache-pied durant des mois pour tenter de remporter ce titre prestigieux dans le monde culinaire professionnel.

Il a présenté le programme imposé, tout comme 27 autres finalistes, pour présenter ces plats devant un jury de chefs présidé par Alain Ducasse.

Au menu : pavé de lieu jaune et parmentier de homard, un lièvre entier, cuisiné en trilogie avec ses trois garnitures fruits-légumes, suivi pour finir d’un Pavlova et aspic de fruits frais et sa crème au citron.

Avant la finale du concours, Mathieu Guibert avait commenté :

C’est avant tout un concours technique, qui permet aussi de nous remettre en cause.

Nul doute qu’il aura profité de ce challenge pour aller encore plus loin dans son art.

Conseil municipal des enfants de Champagnole : Alexis Duboz élu

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Le nouveau maire du conseil des enfants succède à Emma Boivin.

Le nouveau maire du conseil des enfants Alexis Duboz succède à Emma Boivin. (©DR)

La première séance plénière du nouveau conseil municipal des Enfants (CME) de Champagnole s’est déroulée jeudi 22 novembre à 18 h 30, dans la salle d’honneur de la mairie. Après deux années d’exercice un nouveau conseil municipal de 16 élus (l’un d’eux, malade, était excusé) se réunissait après les élections effectuées dans les classes de CM1 et de CM2 dans les trois écoles élémentaires publiques et privées de la Ville. « Vous représentez tous les enfants scolarisés à Champagnole, vous aurez un budget alloué qu’il faudra gérer », a souligné le maire. Puis c’est la conseillère municipale déléguée Catherine David-Rousseau qui a rappelé le règlement intérieur et les missions du conseil en insistant sur le fait que les enfants devaient continuer de privilégier les études. « Le conseil représente tous les jeunes de la commune et doit faire remonter tous les problèmes que les jeunes peuvent rencontrer. »

Le conseil municipal des enfants initie au rôle citoyen, permet de créer un espace d’échanges et de débats et de découvrir les institutions. Il s’interdit les prises de position politique ou religieuse. Les élus se réuniront pour débattre de projets. 

De nombreux projets

Après plusieurs tours d’un scrutin très incertain, c’est le jeune Alexis Duboz, scolarisé en CM2 à l’école Hubert Reeves qui a été élu maire.

Il souhaite organiser un tournoi d’échecs, un concours de skate, un concours de bonhommes de neige, des jeux olympiques entre familles, créer une pièce de théâtre… 

Ses adjoints seront Aaron Lhomme et Bastien Tarrius. L’élection s’est déroulée en présence d’enseignants, du maire Guy Saillard, de nombreux élus du conseil municipal dont des adjoints et des conseillers municipaux, le maire sortant du conseil des enfants Emma Boivin et le jeune Léo Di Pasquale qui fut le premier maire du conseil des enfants de 2013 à 2014.

Le maire sortant des enfants avec le maire de Champagnole Guy Saillard.

Le maire sortant des enfants (2017/2018) avec le maire de Champagnole Guy Saillard. (©DR)

Le scrutin a été très incertain, nécessitant 3 tours...

Le scrutin a été très incertain, nécessitant 3 tours… (©DR)

La météo du vendredi 23 novembre 2018 dans l'Eure et les fêtes à souhaiter

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Comme hier la journée débutera sous la grisaille. Pour autant Météo France n'écarte pas l'éventualité de quelques possibles éclaircies l'après-midi.

Comme hier la journée débutera sous la grisaille. Pour autant Météo France n’écarte pas l’éventualité de quelques possibles éclaircies l’après-midi. (©Météo France – Capture d’écran)

Ce vendredi 23 novembre 2018, 327e jour de l’année, bonne fête aux Clément et aux Clémentine.

Si comme hier Météo France n’écarte pas l’éventualité de quelques possibles éclaircies l’après-midi, comme hier aussi, on risque de les attendre longtemps.

Brouillard, brumes et nuages sont en effet encore au programme de la première partie de journée et pourraient encore jouer les prolongations.

Du côté des températures, les minimales resteront stables, autour de 1°, alors que les maximales seront en progression. Le mercure devrait ainsi atteindre les 9° au meilleur de la journée.

Football. Deux joueuses de l'AG Caen pré-sélectionnées en équipe de France U17

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U17 : Iris Noguier (debout, 1ère en partant de la gauche) et Lola Bisson (en bas, 3ème en partant de la gauche) ont été présélectionnées en équipe de France.

U17 : Iris Noguier (debout, 1ère en partant de la gauche) et Lola Bisson (en bas, 3ème en partant de la gauche) ont été présélectionnées en équipe de France. (©D.R)

Le sélectionneur de l’équipe de France féminine U17, Philippe Dumas, a annoncé, ce jeudi, la liste des vingt-huit joueuses retenues pour un stage de trois jours au Centre National du Football (CNF) à Clairefontaine. Parmi elles, deux joueuses de l’AG Caen. Il s’agit d’Iris Noguier, gardienne de but, et de Lola Bisson, milieu de terrain.

Qualifiée pour le Tour Elite, l’équipe de France tentera de décrocher son billet pour le prochain Championnat d’Europe organisé, en Bulgarie, du 5 au 17 mai 2019. Les futures adversaires des Bleues seront connues lors du tirage au sort prévu, le 23 novembre prochain, à Nyon (Suisse).

La liste de Philippe Dumas

Gardiennes de but

CIMATI Marie (FC Girondins de Bordeaux)
NOGUIER Iris (AG Caen)
PINGUET Alice (Paris Saint-Germain FC)
SIEBER Marie Morgane (SC Freiburg)

Défenseurs

ALLICE Eva (Le Mans FC)
GIRARDOT Marie-Jo (Dijon FCO)
HERBERT Amandine (FC Girondins de Bordeaux)
LE GUILLY Jade (Paris Saint-Germain FC)
MAOULIDA Assimina (US Orléans)
NADO Kate (VGA Saint-Maur)
NOLLET Carla (Arras FCF)
OULD HOCINE Célina (Paris Saint-Germain FC)
TAPIA Chloé (Olympique Lyonnais)

Milieux de terrain

BENCHAO Romane (Dijon FCO)
BISSON Lola (AG Caen)
DOUET Elia (FC Nantes)
HAFSI Taous (Montpellier Hérault SC)
JOLY Lou Ann (Stade de Reims)
PETIT Enola (AS Saint-Étienne)
PICARD Océane (SC Freiburg)
SAOUD Imane (FC Vendenheim)

Attaquantes

BEN RABAH Cyrine (Olympique Lyonnais)
CHAPELLE Kenza (VGA Saint-Maur)
MBAKEM NIARO Esther (VGA Saint-Maur)
OUILLON Charlotte (AS Saint-Étienne)
PENEAU Leïla (FC Nantes)
PRONIEZ Fany (Arras FCF)
SANGARE Hawa (Paris Saint-Germain FC)

Quentin Lemoine 

Volley-ball (Ligue B) : le SNVBA tout proche de l'exploit

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Steven Hunt et les Nazairiens ont sérieusement ébranlé l'ogre parisien ce jeudi 22 novembre

Steven Hunt et les Nazairiens ont sérieusement ébranlé l’ogre parisien ce jeudi 22 novembre (©DR)

Saint-Jean d’Illac avait montré l’exemple le week-end dernier en accrochant Paris dans sa salle. De quoi donné des idées à Saint-Nazaire qui se présentait à la salle Charpy ce jeudi 22 novembre 2018 en match avancé de la 7e journée du championnat de Ligue B.

Face au leader invaincu, le SNVBA a bataillé, est revenu deux fois au score, avant de s’incliner sur le fil 3-2 (25-18 en 25’, 19-25 en 28’, 25-23 en 32’, 23-25 en 31, 17-15 en 20’).

Une défaite encourageante avant de recevoir la lanterne rouge, France Avenir 2024, vendredi 30 novembre au gymnase Coubertin.

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