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Mobilisation des gilets jaunes : 200 personnes rassemblées à Colombelles, la police recule

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Ce mercredi 21 novembre 2018, lla police a tenté de s'approcher du rond-point de Lazzaro, à Colombelles.

Ce mercredi 21 novembre 2018, lla police a tenté de s’approcher du rond-point de Lazzaro, à Colombelles. (©Philippe Rifflet)

Ce mercredi 21 novembre 2018, la mobilisation semble avoir trouvé un nouveau souffle. Il y a aujourd’hui plus de barrages filtrant et de gilets jaunes dans l’agglomération de Caen (Calvados)

Parmi ces barrages, celui du rond-point de la ZAC de Lazzaro à Colombelles où environ 200 personnes sont mobilisées. À 18h20, les forces de l’ordre sont arrivées faisant craindre une opération d’évacuation. Après quelques minutes d’observation, les CRS ont rebroussé chemin.   

LIRE AUSSI : EN IMAGES. Gilets jaunes à Caen : retour sur cinq jours de mobilisation


A Mouzillon, les campings-cars stationnés étaient volés

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Un des véhicules était de marque Citroën.

Un des véhicules était de marque Citroën. (©DR)

Mardi 20 novembre, vers 9h30, dans le bourg de Mouzillon, un camping-car Volkswagen est repéré par une patrouille. Le véhicule était placé sous surveillance car il avait été remarqué sur les lieux d’un vol  avec effraction dans une station de lavage de Remouillé, le soir du 14 novembre dernier.

Un trafic national ?

Un second de marque Citroën Jumpy arrive un peu plus tard sur les lieux. Les deux campings-cars étaient munis de plaques allemandes. La rapide enquête révèle que les deux véhicules ont été dérobés en France en octobre 2018 : l’un en Charente , et l’autre dans le  département des Landes.

Trois personnes de nationalité bosniaque ont été interpellées : une femme et deux hommes, âgés de 25, 21 et 15 ans, sans domicile fixe.  Un trio qui est impliqué dans d’autres méfaits commis  notamment dans le sud-ouest de la France. Les auteurs seront présentés au Parquet de Nantes, ce jeudi 22 novembre.

Nogent-le-Rotrou : les Gilets jaunes s'associent avec la Ferté-Bernard

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Ils sont encore entre 20 et 30 Gilets jaunes présents au rond-point de Margon.

Ils sont encore entre 20 et 30 Gilets jaunes présents au rond-point de Margon. (©L’Action républicaine)

Malgré le froid, ils sont encore une bonne vingtaine au rond-point de Margon, près de Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir), ce soir, mercredi 21 novembre 2018. Eux, ce sont les Gilets jaunes. Depuis samedi 17 novembre 2018, ils ne lâchent rien. 

Le message de la préfecture

En une journée, on découvre un campement avec campings-cars et barnum. Tout est organisé. Même les habitants les aident. On n’a pu rencontrer un couple de retraité amener de la viande, directement placée sur le barbecue. 

« On revient demain matin vous apporter du café  » lance l’homme repartant tranquillement chez lui à pied. Quelques minutes plus tard, une voiture s’arrête et le passager donne de nombreuses baguettes. 

« Nous resterons ici le temps qu’il faudra  » explique un Gilet jaune. 

Vient alors le médiateur.  » Nous allons nous allier avec ceux de la Ferté-Bernard (Sarthe). Si il manque du monde là-bas, on enverra des personnes. Et de même pour eux » nous dévoile-t-il. L’union fait la force. Le mouvement de la cité sarthoise, arrêté mardi 20 novembre, ayant repris dans la journée. 

L’alcool interdit

Ensuite, tout le monde s’agite. Ils devaient « bloquer les camions entre le rond-point de la Saint-Pierre-la-Bruyère et celui de Margon, direction Chartres. Nous allons dévier les voitures. Quant aux poids-lourds, on les mettra sur le côté » ajoute-t-il. Avec toujours les gendarmes pas très loin d’eux. 

Malgré tout, quelques uns s’inquiètent d’être délogés par les forces de l’ordre. 

Ligue 1 : si le PSG est privé de Neymar et Mbappé, le TFC peut-il s'en tirer ?

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Lors de son déplacement à Paris, samedi 24 novembre 2018, le Toulouse Football Club pourrait ne pas croiser Neymar et Kylian Mbappé sur le terrain.

Lors de son déplacement à Paris, samedi 24 novembre 2018, le Toulouse Football Club pourrait ne pas croiser Neymar et Kylian Mbappé sur le terrain. (©Icon Sport)

Le Toulouse Football Club est dans une mauvaise passe en Ligue 1, avec une série de neuf matchs sans victoire. Et il va être très difficile de relever la tête, alors que le prochain adversaire des Violets sera… le Paris-Saint-Germain, au Parc des Princes, samedi 24 novembre 2018, à 17 heures.

Mais sait-on jamais, car le leader invaincu du championnat depuis le début de la saison pourrait bien être privé de deux de ses atouts offensifs. 

LIRE AUSSI : Pourquoi Todibo, le jeune défenseur prometteur du Toulouse Football Club, est écarté du groupe

Neymar et Mbappé blessés le même soir

Dans la même soirée, mardi 20 novembre, les deux joueurs sont sortis sur blessure. La vedette brésilienne, Neymar, est rentré aux vestiaires après seulement 8 minutes de jeu lors de la rencontre amicale face à l’Angleterre. Selon le point médical, communiqué par le club de la capital, la superstar de Paris souffrirait d’une élongation des adducteurs droits.

Une demi-heure plus tard, c’est son coéquipier, le jeune prodigue français Kylian Mbappé qui est contraint de quitter la pelouse, lors du match contre l’Uruguay. Il serait atteint d’une contusion de l’épaule droite.

« Afin de juger l’évolution clinique » des deux joueurs, ils ont été placés dans une période de 48 heures de soins. 

Préserver les stars pour la Ligue des Champions ?

Mais il existe une autre raison, pour laquelle les stars de Paris pourraient ne pas se frotter au Toulouse Football Club, samedi. Puisque quelques jours plus tard, mercredi 28 novembre 2018, c’est un match de la Ligue des Champions qui attend le PSG, face à Liverpool. Une rencontre d’une extrême importance, puisque le club de la capitale va jouer sa qualification en huitièmes de finales.

Neymar et Kylian Mbappé, même s’ils se remettent de leurs blessures, pourraient bien être préservés.

Prendre des points à tout prix

C’est une chance à saisir, pour le Toulouse Football Club. Non pas que l’absence des attaquants vedettes du PSG adoucit de beaucoup la menace que représente le leader de Ligue 1, mais accrocher le nul et faire une bonne prestation pourrait peut-être remette le TFC sur de bons rails.

Après la déconvenue face à Amiens (1-0) au Stadium, samedi 10 novembre 2018, les Violets ont continué de dégringoler dans le classement, pour atteindre la 15e place. À seulement trois points d’écart avec la zone de relégation, tous les points sont bonS à prendre pour ne pas couler dans le bas du tableau en cette fin d’année, et se débattre pour remonter en deuxième partie de saison.

LIRE AUSSI : Ligue 1. Énorme désillusion pour le Toulouse Football Club, défait à domicile contre Amiens

Nicolas Drusian

Finistère. Les gilets jaunes occupent toujours des ronds-points à Brest

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Les gilets jaunes continuent leur action, ici au rond-point de Pen-ar-C'hleuz à Brest

Les gilets jaunes continuent leur action, ici au rond-point de Pen-ar-C’hleuz à Brest (©Côté Brest)

Mercredi 21 novembre 2018, 18h30 : à Brest, les gilets jaunes s’apprêtent à passer une cinquième nuit sur les ronds-points de Pen-ar-C’hleuz (où débouche la RN12 Brest-Rennes) et de Quelarnou (proche du magasin d’Ikea). Ils sont présents depuis samedi 17 novembre, 24 heures sur 24. Déterminés à poursuivre leurs actions, ils en annoncent même d’autres. 

LIRE AUSSI – Finistère. Les gilets jaunes ont fleuri à Brest : photos

24 heures sur 24 à Pen-ar-C’hleuz

Au rond-point de Pen-ar-C’hleuz, ils sont entre une vingtaine et une centaine, selon les moments de la journée et de la nuit. «Mais nous assurons une présence permanente», renseignent deux porte-parole du groupe. Qui expliquent :

Nous avons instauré un barrage filtrant ici. Cela ralentit la circulation mais nous ne bloquons pas. C’est sans doute pour cela que les automobilistes et les chauffeurs de poids lourd, avec lesquels nous discutons, saluent notre action. 

Et usent de leurs avertisseurs sonores en passant devant les gilets jaunes. Un véritable concert de klaxons par moment. 

Cela fait chaud au cœur de voir tous les gens qui nous encouragent. Certains viennent nous déposer des palettes de bois, de la nourriture, des thermos de café chaud, de la soupe, des casse-croûte, des boissons, des viennoiseries. Mais aussi des comprimés contre les  maux de tête, des cotons-tiges. Nous recevons même de l’argent !

Une voie de circulation

Boulevard de L’Europe, avant le rond-point de Pen-ar-C’hleuz, la circulation a été réduite à une voie. 

L’autre sert aux véhicules d’urgence, de secours, de la police, de la gendarmerie, aux voitures avec de jeunes enfants à bord et, depuis aujourd’hui, nous avons autorisé les véhicules d’auto-école à l’emprunter. 
Les secours nous disent qu’ils vont plus vite depuis que nous sommes-là : ils regretteront sans doute notre départ, qui n’est pas encore d’actualité !
Les autorités pourraient, dans l’avenir, adopter cette idée : conserver une voie de circulation dédiée aux véhicules de secours. 

Tout se passe bien et nous avons de bonnes relations avec les policiers, les CRS et les gendarmes. Nous parlons régulièrement avec eux et ils font tout ce qu’il faut pour la sécurité. 
Dans ce groupe, nous avons des jeunes, des familles avec les enfants, des retraités. C’est bon enfant et tout le monde est solidaire. 
Nous prônons le dialogue pour prendre les décisions. Tous les gilets jaunes étaient d’accord pour rester en permanence ici et ne pas se disperser. Nous avions évoqué l’idée d’aller bloquer le dépôt pétrolier de Brest. Mais nous ne voulons pas nous battre, ni avec les CRS ni avec personne. Nous voulons juste que nos revendications soient entendues. 

Une action surprise samedi 24 novembre

Les gilets jaunes continuent leur action, ici au rond-point de Pen-ar-C'hleuz à Brest

Les gilets jaunes distribuent des tracts à Pen-ar-C’hleuz à Brest pour appeler à la mobilisation samedi 24 novembre 2018 (© Côté Brest).

Nous allons continuer et prévoyons d’autres actions. D’autres points stratégiques feront peut-être l’objet d’un barrage filtrant dans les prochains jours. Et aujourd’hui, nous distribuons des tracts aux chauffeurs des véhicules pour les prévenir de l’action que nous mènerons samedi 24 novembre : nous donnons rendez-vous à 7h sur le parking du magasin Orchestra dans la zone de Kergaradec (143, rue Amiral-Romain-Desfossés à Gouesnou, NDLR) pour un rassemblement puis une action surprise.

Les gilets jaunes se sont installés le long du boulevard de L’Europe. Et ont dressé une bâche pour s’abriter et stocker leurs victuailles. 

Nous en ajoutons une pour ce soir parce que si la nuit dernière (de mardi 20 à mercredi 21 novembre, NDLR) a été particulièrement froide avec des températures qui sont descendues jusqu’à -1°C, cette nuit s’annonce pluvieuse… Mais nous resterons là. Et nous allumons des feux pour que tout le monde puisse se réchauffer. 

«Le silence de M. Macron nous motive encore plus !»

Ils veulent continuer à protester contre la politique menée par le gouvernement français. 

La hausse du prix du carburant, ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Nous demandons plus de pouvoir d’achat, moins de taxes. Aujourd’hui, quelqu’un qui touche le Smic (salaire minimum de croissance, montant brut 1498,47 euros, montant net 1184,93 euros, NDLR) ne peut pas vivre, ce n’est pas vrai. Juste survivre… 

Et de conclure : 

Le silence de M. Macron nous motive encore plus !

AU CINEMA : "Mauvaises herbes", une comédie empathique avec une Catherine Deneuve éblouissante

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Kheiron (Waël) et Catherine Deneuve (Monique).

Kheiron (Waël) et Catherine Deneuve (Monique). (©DR)

Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur iranien Kheiron hausse nettement le niveau. Tout d’abord il nous cueille à froid avec une séquence liminaire intensément dramatique. Dans un pays en guerre, la famille du petit Waël est massacrée sous ses yeux. Il ne devra sa survie qu’à sa débrouillardise et l’aide d’une religieuse.

Un saut temporel nous emmène sur ses pas aujourd’hui. Il a été confié, voilà une vingtaine d’années, à Monique, qui œuvrait alors dans l’Humanitaire. Ils se sont fatalement attachés l’un à l’autre au point même que, pour arrondir les fins de mois difficiles, ils ont mis en place un système d’arnaque au sac à main assez comique. Mais une arnaque quand même.

Amer et lumineux

Jusqu’au jour où la victime, Victor, se trouve être une connaissance de Monique. Victor cherche un animateur pour un groupe d’ados en difficulté. Waël tente sa chance, largement encouragé par Monique. Lui qui a vécu les pires horreurs qu’un enfant peut connaître trouvera les mots pour déverrouiller le silence dans lequel se mure cette poignée de « rebelles ». Un brin de suspense autour d’une intrigue policière et voilà notre comédie qui prend son envol, à la fois douce, amère fatalement et lumineuse aussi.

Deneuve éblouissante

À la réalisation, au scénario et devant la caméra, Kheiron fait feu de tout bois. Il s’est particulièrement bien entouré, rien moins que Catherine Deneuve, Monique éblouissante de virtuosité tragi-comique, et André Dussollier, Victor au cœur immense, paradigme d’engagement en faveur de ces jeunes que l’on qualifie aujourd’hui « d’empêchés ».

Une petite musique de tolérance et d’empathie, de rédemption peut-être, plane sur toute cette comédie. Réfugié politique, animateur social, Kheiron sait de quoi il parle. Le ton juste est là. Une réussite.

>> La bande-annonce de « Mauvaises herbes » en vidéo <<

Robert Pénavayre

Football - Espoirs. Les plus beaux clichés de France - Espagne à d'Ornano

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France - Espagne (1-1)

France – Espagne (1-1) (©Léa Quinio/Sport à Caen)

Cherbourg : l'origine criminelle de l'incendie du centre Jean-Itard confirmée

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L'un des bâtiments de l'Esat avait pris feu le 1er novembre 2018.

L’un des bâtiments de l’Esat avait pris feu le 1er novembre 2018. (©La Presse de la Manche)

Le rapport d’expertise judiciaire a confirmé mercredi 21 novembre que l’incendie d’un des bâtiments de l’Esat (établissement de service et d’aide au travail) du centre Jean-Itard, le 1er novembre dernier, était bien d’origine criminelle.

Ce rapport a également mis en avant le départ de deux feux distincts. L’enquête est toujours en cours.

A lire : Cherbourg : un incendie dévaste les ateliers de l’Esat à La Glacerie

L’ACAIS partie civile

Luc Gruson, directeur de l’Association du Cotentin d’aide et d’intégration sociale (ACAIS), qui gère le centre Jean-Itard, n’est pas surpris par la nouvelle :

Je suis ravi d’avoir la preuve que mes convictions étaient les bonnes. Maintenant, nous espérons que les services de police et la justice parviennent à trouver le ou les auteurs de ces faits.

Il indique également que l’ACAIS a décidé de se constituer partie civile.

A lire aussi : Incendie en pleine nuit à Cherbourg : la piste criminelle privilégiée


Val-d’Oise. Les ados forcent la voiture pour y voler des bijoux à Eaubonne

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Les policiers ont surpris les adolescents en plein vol à Eaubonne (Val-d'Oise).

Les policiers ont surpris les adolescents en plein vol à Eaubonne (Val-d’Oise). (©Illustration La Gazette du Val-d’Oie)

Trois jeunes qui tournent autour des véhicules stationnés route de Margency à Eaubonne (Val-d’Oise).

La patrouille de police est alertée par l’attitude suspecte des individus dans la nuit du dimanche 18 novembre, vers 5h10.

Placés en surveillance, les policiers les repèrent en train de forcer une voiture avant de filer…et d’être interceptés par les membres des forces l’ordre.

Au cours de leur fouille les adolescents sont retrouvés en possession d’une lampe torche, de gants, mais surtout de bijoux qu’ils venaient de voler dans le véhicule. Les trois jeunes, âgés de 16 et 17 ans ont été interpellés et placés en garde à vue.

La météo du jeudi 22 novembre 2018 dans l'Eure et les fêtes à souhaiter

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Après les brumes matinales, une succession de nuages, de possibles éclaircies et de rares averses.

Après les brumes matinales, une succession de nuages, de possibles éclaircies et de rares averses. (©Météo France – Capture d’écran)

Ce jeudi 22 novembre 2018, 326e jour de l’année, bonne fête aux Cécile, Cécilia, Célia, Sheila et Aziliz.

Côté ciel, c’est une vraie journée d’automne qui nous attend avec des brumes en matinées, des nuages ensuite, avec de possibles apparitions du soleil et de rares averses

Idem pour ce qui est des températures, Météo France annonçant – 2° en fin de nuit et  jusqu’à 7° dans l’après-midi.

 

Manche : le projet de vie insolite d'un couple raconté à la télévision par Elodie Gossuin

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Morgane et Samuel, vivent dans une yourte avec leurs deux plus jeunes enfants. Un choix de vie qui a attiré l'œil des caméras de M6.

Morgane et Samuel vivent dans une yourte avec leurs deux plus jeunes enfants. Un choix de vie qui a attiré l’œil des caméras de M6. (©DP)

Jeudi 29 novembre 2018, un sujet sera consacré à Morgane et Samuel, un couple qui vient de s’engager dans une nouvelle vie qui allie activité professionnelle et cadre de vie insolite, en se lançant dans un projet de chèvrerie installée à Carneville (Manche).

A LIRE AUSSI : Automobile : un clin d’œil au Cotentin dans l’émission Turbo de ce dimanche matin

Changement de vie

Diffusé dans l’émission Familles extraordinaires sur 6ter, le profil de nos deux Manchois a séduit Elodie Gossuin, animatrice sur M6 et son équipe qui les a donc contactés.

Samuel explique :

Le tournage s’est déroulé cet été. Cette expérience était aussi pour nous l’occasion de parler de la région, de ses activités, de ses atouts. Il a été partagé entre l’activité autour de la chèvrerie, la fabrication des fromages, la découverte de la commercialisation en circuit court.

Familles et amis ont également été sollicités pour faire part de leurs regards sur leur changement de vie qui, dans un premier temps, leur a donné quelques inquiétudes. Reste qu’au regard de cette famille qui semble baigner dans le bonheur et le labeur du quotidien, elle semble bien ne rien regretter.

A LIRE AUSSI : Télévision : une Cotentinoise dans l’émission de TF1 Les douze coups de midi ce vendredi

Diffusion de l’émission Familles Extraordinaires sur 6ter, présentée par Elodie Gossuin, jeudi 29 novembre à 21 heures.

Yvelines. Flins : des gilets jaunes embarqués la police. Buchelay : nouvelle opération nocturne au péage

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Les gilets jaunes ont mis le feu devant le site de Renault à Flins.

Les gilets jaunes ont mis le feu devant le site de Renault à Flins. (©Patrick Auffret)

Ce mercredi comme chaque jour depuis samedi, les gilets jaunes ont investi dans l’après-midi le péage de Buchelay avant d’être dispersés par les forces de l’ordre. Désœuvrés car sans péage à bloquer, ils ont décidé d’aller, vers 20 h, sur le site Renault de Flins pour empêcher les camions de livrer. Un feu de palette a même été mis réalisé. Bref, un véritable blocage était en train de se mettre en place par un groupe de gilets jaunes très déterminés. Un gilet jaune raconte.

« La police nous a demandé si nous étions ceux du barrage de Buchelay. Ils voulaient mettre quelques-uns d’entre nous en garde à vue histoire de dissuader les autres… »

La police a en tous les cas réussi à mettre une belle pagaille chez les manifestants qui n’ont pas eu le temps de se retourner. Selon certains témoins, plusieurs interpellations ont effectivement eu lieu alors que les gilets jaunes se dispersaient.

Les gilets jaunes ont fait brûler des palettes à Flins.

Les gilets jaunes ont fait brûler des palettes à Flins. (©Gilets jaunes)

Une dizaine de gardes à vue

Un gilet jaune indique. « Certains sont perdus dans la carrière, près des champs, d’autres se sont fait embarquer. »

« Ils pensaient que nous allions aller sur l’autoroute à pied, alors ils nous ont embarqués. Nous étions une dizaine, dont une fille, au commissariat. Il faut dire qu’ils avaient mis les moyens, ils étaient beaucoup plus nombreux que nous, une quinzaine de voitures environ ! »

Les gilets jaunes ont été emmenés au commissariat pour « dégradation de biens publics ». La garde à vue a duré une bonne heure puis tous les gilets jaunes ont été remis en liberté avec convocation au commissariat des Mureaux ce vendredi pour « dégradation volontaire en réunion. » Un panneau aurait fondu …

Le péage encore

 

Les gilets jaunes ont une nouvelle fois fait irruption au péage la nuit.

Les gilets jaunes ont une nouvelle fois fait irruption au péage la nuit. (©Patrick Auffret)

La soirée n’était pas finie pour autant. D’autres manifestants, les plus irréductibles des gilets jaunes, se sont en effet retrouvés sur le parking d’un magasin du centre commercial Auchan, à Buchelay, pour envisager, c’est devenu une routine, une nouvelle opération péage gratuit. Pour une fois, la SAPN n’ a pas ouvert elle-même les barrières et les gilets jaunes ont dû les lever pour permettre aux voitures et aux camions de passer sans payer. Il était alors 22 h 30, dix minutes plus tard, la police arrivait sur les lieux, ce qui a provoqué la fuite en courant des manifestants.

Vers 22 h 40, des policiers armés ont coursés les manifestants.

Vers 22 h 40, des policiers armés ont coursé les manifestants. (©Patrick Auffret)

Les gilets jaune ont déguerpi en courant ...

Les gilets jaune ont déguerpi en courant … (©Patrick Auffret)

Des manifestants qui promettaient de revenir ce vendredi et même samedi pour permettre à tous d’allersans bourse déliée…

Mont-Saint-Michel : les Gilets jaunes préparent une opération "parking gratuit"

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Les Gilets jaunes veulent associer à leur mouvement le "symbole national" du Mont-Saint-Michel.

Les Gilets jaunes veulent associer à leur mouvement le « symbole national » du Mont-Saint-Michel. (©Archives La Gazette)

Les Gilets jaunes d’Avranches ont débattu sur la suite à donner à leur mouvement, ce mercredi 21 novembre, lors d’une réunion au Val-Saint-Père.

Après de vifs débats sur les modes d’actions, un consensus est finalement ressorti après plus de deux heures de discussion.

Le Mont-Saint-Michel et sa symbolique ont notamment ponctué les débats. Si les discussions s’en tiennent à cette dernière réunion, une opération « parking gratuit » va se tenir dimanche 25 novembre 2018 au Mont-Saint-Michel.

« Démonter proprement les barrières »

« Il faudra démonter proprement les barrières et l’accès des parkings sera gratuit pour tout le monde », a suggéré un Gilet jaune au micro, proposant à chaque manifestant de ramener les outils nécessaires. « Il faudra surtout ne rien casser »

L’idée est de toucher « Véolia », « l’Etat », tout en ne pénalisant pas les commerçants locaux.

« Car l’argent que les visiteurs vont économiser au parking, ils pourront le mettre dans une crêpe sur le Mont », a lancé l’un d’entre eux. « Il faut toucher les gros patrons : Véolia, Vinci, Total ».

Une autre question a été soulevée par des Gilets jaunes à travers l’action prévue au Mont-Saint-Michel, celle du « droit d’accès à la culture » et sa « gratuité ».

Vendredi noir en vue pour Black Friday

En plus du Mont-Saint-Michel, les centres commerciaux d’Avranches devraient être visés par des barrages à leurs accès, vendredi 23 novembre 2018. La date est choisie en rapport avec le « Black Friday ».

« Pour que ce soit un vendredi noir, il faut empêcher le commerce de faire du chiffre », explique un des intervenants. 

Un autre, sceptique, craint que les consommateurs se tournent vers « Amazon » en ce jour d’opération commerciale.  Le rendez-vous a été donné devant les magasins Leclerc et Carrefour d’Avranches.

« Il faut inciter les gens à retourner dans le commerce de proximité », argumente une autre Gilet jaune.

Les aires de l’A 84 samedi 

Les stations services devraient aussi être ciblées, samedi 24 novembre 2018. Dès 7 h 30, les Gilets jaunes prévoient d’intervenir sur les aires de la Baie et de Gouvets, sur l’autoroute A 84.

Ce jeudi 22 novembre 2018, le barrage filtrant devrait être tenue sur la zone de Montcreton, comme c’est le cas depuis le samedi 17 novembre.

Plus de 250 Gilets jaunes étaient réunis, ce mercredi 22 novembre, près d'Avranches.

Plus de 250 Gilets jaunes étaient réunis, ce mercredi 22 novembre, près d’Avranches. (©La Gazette de la Manche)

Le mouvement d’Avranches se veut « exemplaire » avec plusieurs règles mises en place par les référents : des barrages toujours filtrants sans blocage, des feux dans des bidons et non au sol, « pas de discours haineux ni racial », « aucune tolérance en cas d’ivresse chez les Gilets jaunes ».

 

Hockey/Glace - Division 1. Loup Benoît : "Je me fonds totalement dans le décor"

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Dans la moyenne nationale pour un homme (1m79 pour 83 kg), Loup Benoît est loin d’être un sportif lambda. C’est avec le sourire colgate et les yeux bleus perçants qu’il accepte de nous recevoir à la patinoire de Caen La Mer et d’étaler l’histoire de sa carrière jusqu’à son arrivée chez les Drakkars de Caen. 

LIRE AUSSI : Préparation prometteuse pour le Hockey Club de Caen

Ce club, il l’a tout juste rejoint cet été après deux saisons passées à Strasbourg. Natif de La Tronche, ville située juste à côté de Grenoble là où il a commencé le hockey-sur-glace, Loup Benoît a tout connu – ou presque – du haut niveau. Formé chez les Brûleurs de Loups, nom donné au club de Grenoble (non cela n’a rien à voir avec son prénom !), l’attaquant de 27 ans a un CV dans l’élite du hockey sur glace relativement impressionnant. 

Se donner la chance de réussir 

Depuis son intégration en seniors, il n’a évolué qu’en Ligue Magnus et pas dans les plus petits clubs de l’hexagone. Le premier c’est Grenoble, son club formateur et où il a touché la glace pendant cinq ans avant de rejoindre la Normandie et atterrir à Rouen pour quatre saisons. « J’ai connu les deux plus gros clubs de France aujourd’hui. Ensuite, je suis parti à Lyon et Strasbourg pour trois saisons où c’était plus compliqué. J’ai pris moins de plaisir. Ils avaient du mal à faire confiance aux français et surtout aux jeunes joueurs », explique-t-il.

Je regrette justement c’est que certains clubs ne m’ont pas laissé la chance alors qu’on n’a rien à envier à certains étrangers

Alors qu’il vivait ses années de gloire et de formation à Grenoble puis chez les Dragons de Rouen, la suite a été moins joyeuse pour le montagnard. Perte de temps de jeu, effacé des collectifs, poste largement plus défensif, voilà tout ce qui rythmait le quotidien du n°12 caennais. Finalement, il ne s’y retrouvait plus. Caen se présentait alors comme un nouveau départ, pour une première année en division 1. 

Loup Benoit retrouve un rôle plus offensif à Caen.

Loup Benoit retrouve un rôle plus offensif à Caen. (©Léa Quinio/Sport à Caen)

Retrouver un poste à responsabilités 

« En venant à Caen, je voulais retrouver un poste plus offensif que j’avais perdu ces dernières années. J’ai été catalogué dans un rôle de centre défensif alors qu’au tout début de ma carrière ce n’était pas mon profil. Je me suis adapté mais en signant ici je voulais retrouver le plaisir de jouer et un poste à responsabilités. » 

LIRE AUSSI : Les Drakkars de Caen déroulent face à Chambéry

Des responsabilités, l’ancien étudiant en école d’architecture en a. Il suit aujourd’hui un cursus à distance avec une école de management à Grenoble. Mais qu’est-ce qui l’a motivé autant à redescendre d’un échelon pour jouer en première division à Caen ? « Même si c’est de la D1, la base est solide et je me reconnais totalement dans ce projet. Je me fonds totalement dans le décor que ce soit au niveau du groupe que du projet de jeu sur la glace. »

Je ne vais pas cacher que j’avais un peu d’appréhension par rapport au rythme des matchs. Jouer tous les 2-3 jours, c’est le rêve de tout hockeyeur. Là en Division 1, on prépare le match toute la semaine et il faut être prêt le jour J !

Etre prêt pour jouer sous les couleurs calvadosiennes, Loup Benoît ne l’a pas été dès le début. Demandant forcément un temps d’adaptation comme tout nouveau joueur dans un club, sa préparation a surtout été tronquée par une élongation à l’ischio-jambier. Il a donc commencé la saison avec un temps de retard sur ses coéquipiers déjà morts de faim. Mais rien ne semble avoir altéré son intégration au Hockey Club de Caen, là où certains joueurs ne lui étaient pas inconnus. 

Loup Benoît semble totalement impliqué dans le projet de jeu des Drakkars de Caen.

Loup Benoît semble totalement impliqué dans le projet de jeu des Drakkars de Caen. (©Léa Quinio/Sport à Caen)

« Je connaissais quelques joueurs comme Rémi Colotti, que j’ai cotoyé quand j’étais jeune, ou encore Pierre-Antoine Devin lorsque j’ai joué en Magnus. Mon intégration s’est très bien passée et si je peux conseiller certains jeunes grâce à mon expérience et ce que j’ai connu, c’est avec plaisir que je le fais. D’autant plus qu’ils sont réceptifs et ont envie ! »

« Un club familial qui correspond à mes valeurs » 

Un club formateur comme celui de Caen, c’est justement ce dans quoi a été plongé ce garçon travailleur, exigeant mais aussi très sociable lors de ses débuts à Grenoble. Bien que ses statistiques personnelles ne soient pas encore au niveau attendu en ce début de saison (2 buts, 4 assists), il semble totalement comblé et impliqué dans son nouveau projet. 

Je suis issu d’un club formateur donc je comprends totalement les valeurs de travail, d’humilité et de respect qui sont développées à Caen. Je retrouve les valeurs que j’ai du sport et de la vie en général ici

« Pouvoir discuter avec un coach très impliqué, c’est ce que je recherchais à ce moment de ma carrière. Luc (Chauvel, ndlr) tient vraiment ses paroles. Il a toujours sa porte ouverte et même si on a des points de vue différents, on discute et c’est toujours constructif. C’est agréable de travailler dans ces conditions. C’est vraiment quelque chose de rare dans le hockey français de pouvoir discuter librement avec son coach comme c’est le cas ici ! ». 

LIRE AUSSI : Caen repart de l’avant face à Marseille 

Et pour l’instant, ça a l’air de payer. Caen est cinquième à un cheveu du podium. Et nul doute que Loup Benoît aura un rôle à jouer à Caen dans l’accession aux play-offs. « On n’est vraiment pas en concurrence entre tous les attaquants. On se rend tous service en voulant jouer chacun pour les autres ». 

Gilets jaunes : le point de la préfecture ce jeudi à 19 heures

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Les Gilets jaunes occupent encore le rond-point de la Maison du Département à Saint-Lô. (©La Presse de la Manche)

Dans le département de la Manche, voici les points possiblement filtrants (la plupart étant dégagés) :

Dans le Nord-Cotentin

Cherbourg-en-Cotentin : station-service Auchan (blocage) et rond-point de Thémis.

Les Pieux : Intermarché (filtrage du magasin et de la station) et blocage de la station-service du Super U.

Dans le centre-Manche

Saint-Lô : rond-point de la Maison du Département.

Condé-sur-Vire : échangeur 1 de la RN174.

Bréhal : rond-point des Français-Libres.

Carentan : ronds-points de Saint-Côme (Mercedes) et centre commercial Leclerc.

Coutances : ronds-points des Pommiers, des Îles et de Tassigny.

Villedieu-les-Poêles – Fleury : échangeur 37 de l’A84.

La Colombe : échangeur 38 de la D999 (A84).

Saint-Amand : carrefour de la Détourbe.

Dans le sud-Manche

Avranches : rond-point de Montcreton (filtrant).

Saint-Hilaire-du-Harcouët : rond-point de Virey.

Ducey-les-Chéris : rond-point du Carrefour Market (filtrant).

A noter : l’autoroute 84 est ouverte dans les deux sens de circulation, et l’échangeur 40 est également ouvert. La cellule d’information au public n’est pas ouverte aujourd’hui.


Toulouse : le traditionnel marché de Noël fait son retour, voici le programme des festivités

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Le Village de Noël, place du Capitole, compte 117 chalets.

Le Village de Noël, place du Capitole, compte 117 chalets. (©P. Nin / Ville de Toluouse)

Toulouse entre dans une parenthèse enchantée, à partir du vendredi 23 novembre 2018. De nombreuses animations sont organisées dont le marché de Noël ! Le programme.

Le marché de Noël, place du Capitole

Des jouets en métal ou en bois, des jeux de société, des santons de Provence, des décorations de Noël, du chocolat, du fois gras, du vin chaud, des savons, des bouillottes, des bijoux, un bar à bonnets… Au total, le marché de Noël compte 117 chalets sur la place du Capitole.

Les Toulousains pourront faire leurs emplettes pour les fêtes du 23 novembre au 26 décembre. Tous les jours, le chalet du Père Noël accueillera les enfants. Il sera présent lundi, mardi, jeudi et vendredi, à partir de 16h, et mercredi, samedi et dimanche, à partir de 10h30. Et le lundi 24 décembre, de 10h30 à 19h.

Infos pratiques :
Du vendredi 23 novembre au mercredi 26 décembre 2018. Tous les jours de 10h30 à 20h30. Nocturnes jusqu’à 22h les vendredis et samedis.

Spectacle d’ouverture le samedi 1er décembre

Le lancement officiel des animations aura lieu avec le « Bal des Luminéoles », un spectacle qui s’annonce… aérien !

Infos pratiques :
Samedi 1er décembre 2018, dès 17h30. Square De-Gaulle.

Le village du Père Noël, à partir du 1er décembre

Le village du Père Noël ouvre à partir du samedi 1er décembre, square De-Gaulle. Pour cette 5e édition de Noël Enchanté, le Père Noël enfile ses chaussures de ski, prend ses bâtons et vous fait découvrir son village au centre duquel trône sa maison.

Un peu plus loin, slalomez entre une forêt de sapins et un chalet d’altitude pour vous asseoir à l’une des tables et rédiger le vœu qui vous tient le plus à cœur. Enfin, déguisez-vous d’une cape ou d’un bonnet pour une séance photo dans le studio du Père Noël.

À la sortie du village, pensez à vous arrêter au chalet des artisans et producteurs en provenance de l’Ariège.

Infos pratiques :
Lundi, mardi et jeudi de 12h à 14h et de 17h à 19h. Mercredi de 12h à 19h. Vendredi de 12h à 22h. Samedi de 10h à 22h. Dimanche de 10h à 19h. Pendant les vacances : dimanche au jeudi de 10h à 19h ; vendredi et samedi de 10h à 22h. Fermeture à 17h les 24 et 31 décembre et le 6 janvier. Fermé le 25 décembre et le 1er janvier.

Conte en lumière sur la façade du donjon

C’est désormais un classique : un conte de Noël est projeté quotidiennement, à partir du samedi 1er décembre, sur la façade du donjon.

Infos pratiques :
En semaine, séances de 17h30 à 20h30. Vendredi et samedi, séances de 17h30 à 22h.

Le manège de Noël

Du 27 novembre au 13 janvier, vous pourrez embarquer à bord d’un arbre de Noël géant rue d’Alsace-Lorraine.

Infos pratiques :
Ouvert en semaine de 10h à 21h et les week-end de 10h à 23h.

Manager viré, XV de France, black friday et match caritatif... Les infos à ne pas rater ce jeudi

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Jack Isaac a été démis de ses fonctions de manager de Biarritz. Heini Adams va lui succéder.

Jack Isaac a été démis de ses fonctions de manager de Biarritz. Heini Adams va lui succéder. (©Icon Sport)

Bien sûr, la grosse actualité ce jeudi, c’était l’annonce de la compo du XV de France pour affronter les Fidji. Deux changements sont à noter dans le XV de France. Mais la planète ovale n’a pas uniquement tourné autour des Bleus. Actu Rugby vous dit tout. Suivez le guide.

Biarritz. Jack Isaac viré, Adams arrive

Depuis hier mercredi, les rumeurs vont bon train du côté de Biarritz. En interne, il y a énormément de rififi. Et les choses ont bougé ce jeudi. Le président de Saint-André-de-Cubzac a confirmé au Ohvalie le départ d’Heini Adams pour Biarritz.

L’ancien demi de mêlée de Bordeaux-Bègles va remplacer Jack Isaac, démis de ses fonctions de manager. Adams sera en charge de l’équipe professionnelle en compagnie de Matthew Clarkin, arrivé l’été dernier au club en tant que directeur sportif.

XV de France. Deux changements face aux Fidji

Jacques Brunel n’a pas procédé à un large turnover pour le dernier test de novembre face aux Fidji. Prime à la continuité plutôt avec volonté de bâtir son équipe titulaire dans l’optique du Mondial 2019 au Japon. 

LIRE AUSSILa composition de l’équipe face aux Fidji avec l’entrée de Demba Bamba

Rabah Slimani et Benjamin Fall débuteront la rencontre samedi au Stade de France. Le jeune Demba Bamba, champion du monde avec les U20, mais aussi Julien Marchand, Félix Lambey et Kelian Galletier intègrent le banc des remplaçants.

LIRE AUSSIC’est niet : les Bleus non retenus pour France – Fidji ne joueront pas avec leurs clubs ce week-end !

Côté fidjien, pas moins de neuf éléments évoluant en France (Top 14 et Pro D2) ont été sélectionnés. La ligne d’attaque avec des Radradra, Vatubua et Tuisova s’annonce très dense.

LIRE AUSSILa composition des Fidji face au XV de France avec de nombreux joueurs évoluant en Top 14

Clermont va jouer au Japon

En accord avec la Ligue Nationale de Rugby, le club de Clermont va se rendre au Japon afin de disputer le 2 février 2019 un match caritatif.

LIRE AUSSIClermont ira au Japon en février prochain afin de disputer un match caritatif

Celui-ci aura pour but de lever des fonds pour venir en aide aux victimes des catastrophes naturelles ayant durement touché le Japon.

Bonus. Black Friday pour France – Fidji

C’est la très bonne nouvelle du jour. Surtout si vous souhaitez avoir des places pour le match de samedi entre le XV de France et les Fidji. En ce Black Friday, la FFR a annoncé des remises de 40% sur tous les billets de la rencontre. Bref, des sésames à partir de 15€, il n’y a plus une minute à perdre.

LIRE AUSSIBlack Friday. La FFR casse le prix de toutes les places pour le match France – Fidji

CARTE. Gilets jaunes : encore quelques petits rassemblements en Sarthe

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Les barrages des gilets jaunes ont été enlevés ce jeudi 22 novembre sur la rocade de Sablé-sur-Sarthe.

Les barrages des gilets jaunes ont été enlevés ce jeudi 22 novembre sur la rocade de Sablé-sur-Sarthe. (©Les Nouvelles de Sablé)

Le mouvement des gilets jaunes n’est pas terminé en Sarthe, ce jeudi 22 novembre, mais la plupart des barrages filtrants, qui subsistaient encore, ont été levés dans la matinée. Le point sur notre carte.

Levée des barrages filtrants

À SablésurSarthe, après une dernière nuit de mobilisation, l’heure était au nettoyage, dans la matinée. Les gendarmes ont délogé les manifestants.

En début de soirée, des groupes de gilets jaunes étaient en place, toujours sur la rocade, près de La Poste, et au rond-point du Super U, traversant les passages piétons pour faire stopper les véhicules.

Les gendarmes sont arrivés pour demander aux gilets jaunes "d'enlever les obstacles". Les gilets jaunes ont décidé de le faire sans encombre.

Geplaatst door Les Nouvelles L'Echo Fléchois op Donderdag 22 november 2018

Entre Sablé et La Flèche, un groupe d’une quinzaine de personnes était en place dans l’après-midi près du rond-point de la zone d’activités à Louailles. Les gendarmes sont également intervenus.

À La FertéBernard, quelques gilets jaunes étaient encore présents, de manière récurrente, notamment sur le péage de l’autoroute A11. Ils réfléchissent désormais à la suite du mouvement.

À 19 h 30, ce jeudi, Vinci Autoroutes constate l’absence de manifestants sur les péages de l’A28 et l’A11.

Lire aussi : Un habitant du Mans condamné pour avoir menacé des gilets jaunes

À Château-du-Loir, ils étaient encore présents dans l’après-midi au péage de l’A28 (Montabon).

Heini Adams à Biarritz, c'est confirmé : "Il part de Saint-André-de-Cubzac en laissant son empreinte"

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Patrick Lalanne et Heini Adams ont collaboré au RC Cubzaguais pendant près de trois ans.

Patrick Lalanne et Heini Adams ont collaboré au RC Cubzaguais pendant près de trois ans. (©Ohvalie – Christophe Georgeval)

C’est une rumeur qui revient avec insistance ces dernières heures : Heini Adams, l’ancien demi-de-mêlée de l’Union Bordeaux-Bègles, est pressenti pour intégrer le staff du Biarritz Olympique (Pro D2).

LIRE AUSSI : comment Patrick Lalanne a fait du RC Cubzaguais une place forte du rugby girondin

Selon Sud Ouest, l’intéressé a d’abord démenti mais des sources du club basque annoncent que le Sud-Africain de 35 ans est attendu ce lundi… Joint par Ohvalie, Patrick Lalanne, le président du RC Cubzaguais (Honneur) où Adams est manager, confirme la tendance :

« Oui, c’est vrai, Heini Adams part à Biarritz. Il avait des contacts et ça s’est fait dernièrement. Je crois que c’est pour reprendre l’entraînement des trois-quarts… »

L’ancien demi-de-mêlée de l’UBB doit donc intégrer le staff du BO. Selon les dernières informations, il devrait entraîner les trois-quarts alors que Jacque Cronje a en charge les avants. Écarté, Jack Isaac est remplacé par Matthew Clarkin, l’ancien capitaine d’Adams à Bordeaux-Bègles.

« Il était très impliqué au RC Cubzaguais »

Le Sud-Africain entamait sa troisième saison en tant que manager de Saint-André-de-Cubzac (Gironde), un club promu en Honneur. « Il était très impliqué au club. Il supervisait aussi l’école de rugby, donnait des conseils sur la technique de la passe », étaye Patrick Lalanne.

En outre, Heini Adams avait en charge la technique individuelle des numéros 9 de l’Union Bordeaux-Bègles.

LIRE AUSSI : Saint-André-de-Cubzac a connu une désillusion face à Sainte-Foy-la-Grande

Pour lui, ce challenge au Biarritz Olympique sera l’occasion de montrer ce qu’il vaut au niveau professionnel. Le président du RC Cubzaguais n’est pas inquiet pour lui :

« À mon avis, il a le potentiel pour y arriver. Pour moi, c’est un des meilleurs tacticiens sur le marché. Dans la stratégie, le jeu, c’est un génie. Il part en laissant son empreinte au RCC. Il a fait un superbe travail. »

« C’est un bon placement pour le Biarritz Olympique »

« Je pense que ce sera plus facile pour lui en Pro D2 qu’en Honneur, poursuit Lalanne. Il est très exigeant mais c’est compliqué avec des joueurs amateurs pour mettre son système de jeu en place. Il n’a que deux séances par semaine. Avec l’analyse vidéo, ça passe vite… Je pense que c’est un bon placement pour le BO. »

De son côté, le président du RCC lui a déjà trouvé un successeur normalement. Son identité doit être dévoilée la semaine prochaine.

Dole. Gilets jaunes : l'appel à nommer un collège de direction et à se rendre à Paris

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Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées, à la nuit tombée, sur le rond-point de Parcey.

Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées, à la nuit tombée, sur le rond-point de Parcey. (©Voix du Jura)

« Je ne suis pas le chef, je ne l’ai jamais été et je ne le serai jamais », martèle Fabrice Schlegel, leader du mouvement des Gilets jaunes à Dole et administrateur de la page Facebook De l’essence de la contestation, qui rassemble à ce jour plus de 49 000 membres.

Jeudi 22 novembre 2018 à 17h30, le Dolois avait donc invité les membres de cette page à se rejoindre sur le rond-point de Parcey, pour une « réunion générale ». L’objectif : nommer un collège de direction et « rappeler les fondamentaux de respect et de tolérance », selon les mots de Fabrice Schlegel. Devant la foule, il ajoute :

Il faut qu’on mette en place une direction à plusieurs têtes. Les gens derrière moi ont participé à ce mouvement depuis le départ. Toutes les bonnes volontés peuvent venir avec nous. Je vous demande, à l’issue des prises de parole, de venir nous voir. On veut des gens intelligents et raisonnables pour faire évoluer la chose.

Après avoir fait circuler le micro dans les rangs pour inviter les participants à donner des idées pour la suite, Fabrice Schlegel a proposé la mise en place de boîtes à idées, sur les différents ronds-points. « On a beaucoup d’idées mais on aimerait avoir les vôtres« , a-t-il souligné.

Lire aussi : A Dole, les gilets jaunes toujours mobilisés… malgré quelques dissensions

Un élan de solidarité

Tour à tour, plusieurs personnes ont pris la parole, à l’image de Séverine Chaudot, une des modératrices du groupe Facebook :

Je remercie les gens généreux qui nous ont donné de l’argent alors qu’on n’en voulait pas. Grâce à eux, nous avons fait des cagnottes, qui nous permettent de faire tourner les groupes électrogènes pour avoir de l’éclairage la nuit.

Benjamin Converset, basé sur le rond-point de Ranchot, s’est également exprimé :

Vous avez peut-être entendu parler de moi avec mon âne et ma charrette… Nous, à Ranchot, on se mobilise à partir de 9h30, on laisse les gens aller au boulot. On achète des bonbons avec les cagnottes que les gens hyper généreux nous donnent et on les redistribue, on leur dit qu’on est là pour donner du bonheur. On leur explique qu’on n’est pas là que pour le gasoil mais aussi pour dénoncer le manque de transport en commun dans nos campagnes.

En route vers Paris

La réunion a, par ailleurs, permis d’inviter ceux qui le souhaitent à se rendre à Paris, le samedi 24 novembre 2018, à 4h du matin. Les personnes qui désirent se joindre à ce déplacement peuvent le faire en s’inscrivant sur l’événement Facebook Départ de Dole pour Paris – renfort gilet jaune. Un covoiturage est prévu et le lieu sera donné ultérieurement.

En marge de la réunion, Fabrice Schlegel confie :

La stratégie des ronds-points c’est bien, mais on en a fait le tour. Je vais organiser une réunion avec les représentants des mouvements de la Franche-Comté. J’ai des contacts à Besançon, Pontarlier, Montbéliard, Lons, etc. L’idée est d’avoir un interlocuteur pour la Franche-Comté pour aller parler, peut-être pas à l’Elysée, mais à Christophe Castaner ou Edouard Philippe.

En attendant, une réunion, prévue le vendredi 23 novembre, doit permettre d’organiser le « collège de direction » souhaité par Fabrice Schlegel.

Lire aussi : Gilets jaunes : une mobilisation rarement vue pour le Jura

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