L’auteure, Aïda Asgharzadeh, est aussi sur scène. ©Lisa Lesourd
Après avoir découvert l’auteure et comédienne, Aïda Asgharzadeh, dans « Les vibrants » la saison dernière sur la communauté de communes du Val Briard, elle fait son retour avec « La Main de Leïla », nommée aux Molières 2018.
Samedi 9 février, la salle de spectacle de Neufmoutiers-en-Brie accueillera les comédiens de la compagnie du Théâtre des Béliers pour un voyage en Algérie en 1987.
Plus précisément à Sidi Fares, petit village proche d’Alger.
1987, dans un petit village proche d’Alger
Dans un garage secrètement transformé en salle de spectacle, Samir a ouvert son cinéma, le Haram Cinéma, où il rejoue illégalement les plus grands baisers du cinéma que l’État censure.
Ici, deux règles sont à respecter : son identité doit rester secrète, et les femmes sont interdites.
Mais un jour, Leïla, la fille du puissant colonel Bensaada, se glisse dans le public et découvre la mythique histoire de Casablanca.
Samir et Leïla tombent amoureux, mais cet amour est interdit…
Intrigues poignantes, rire et émotions
Cette pièce raconte avec justesse et humour le quotidien du petit village algérien, et l’histoire d’un amour inconditionnel mêlé à des intrigues poignantes.
C’est Régis Vallée, comédien, qui signe ici la mise en scène.
Une comédie construite de manière ludique, avec une écriture brève et rythmée, excellemment interprétée par les trois comédiens présents sur scène, qui alternent rires, espoir, et émotions.
Samedi 9 février, à 20 h 30, salle Alain Peyrefitte de Neufmoutiers-en-Brie, rue des Mésanges. Dès 12 ans. Tarif : 10 €. Billetterie : Val Briard, Ferme communautaire J-J. Barbaux, 2, rue des Vieilles Chapelles, Les Chapelles-Bourbon. Du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h (par chèque à l’ordre du Trésor Public ou espèces). Réservation possible au 01 64 51 33 24 ou à reservation@valbriard.eu. Il est possible d’acheter son billet sur place, jusqu’à 15 minutes avant, sous réserve de places disponibles.