Joël Bruneau, maire de Caen (Calvados), doit prendre la parole dans le premier acte du grand débat national, programmé à Bourgtheroulde, mardi 15 janvier 2019. (©MG/Liberté)
Tous les maires n’auront pas l’opportunité de prendre la parole lors de la première étape du grand débat national lancé par Emmanuel Macron, mardi 15 janvier 2019 à Grand Bourgtheroulde (Eure). Et pour cause : ils sont près de 700 à y avoir été conviés et tout le monde n’aura pas le temps de s’exprimer.
Deux maires du Calvados
Mais le maire de Caen (Calvados), Joël Bruneau, sera lui sous le feu des projecteurs avec une brève intervention. Il est avec sa consœur de Canteloup près d’Argences, le seul édile caennais, à pouvoir prendre la parole.
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« Il a fallu désigner des personnes pour les prises de parole, et il a été acté que la taille des communes était un élément pour faire ce choix », explique-t-on dans son entourage. Il n’est donc pas illogique que dans le Calvados, les « deux extrêmes » soient représentés : la plus grande ville avec Joël Bruneau (107 000 habitants) et l’une des plus petites du département, Canteloup (80 habitants). Sa maire, Sophie de Gibon, se verra elle aussi accorder un temps de parole.
Cahiers de doléances
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Lundi 7 janvier, la Ville de Caen a ouvert en mairie et dans les pôles de vie des quartiers des cahiers de doléances pour alimenter le grand débat national. Les citoyens peuvent également envoyer leurs messages par courrier électronique à doleances.gouvernement@caen.fr.