
Une partie de ce long-métrage avec Vincent Cassel dans le rôle de Vidocq a été tournéedans les sous-sols de la cave des Moineaux et dans la cathédrale Saint-Maclou,en décembre 2017. (©Mandarin Cinéma D.R.)
C’est LA principale sortie de la semaine dans les salles de cinéma de France.
Le film L’Empereur de Paris, qui retrace l’histoire de Vidocq, célèbre aventurier français du XIXe siècle, dont une partie a été tournée dans les sous-sols de la cave des Moineaux et dans la cathédrale Saint-Maclou de Pontoise, dans le Val-d’Oise, en décembre dernier, est à l’affiche depuis ce mercredi 19 décembre.
Le film produit par la société Mandarin Cinéma revient sur l’épopée du « Roi de l’évasion », le prisonnier Eugène-François Vidocq, campé par Vincent Cassel, qui n’est autre que le fondateur de la toute première agence de détectives privés.
Projeté sur grand écran depuis le mercredi 19 décembre, ce long-métrage réalisé par Jean-François Richet (Mesrine, Ma 6-T va crack-er, Un moment d’égarement, etc.) réunit un joli casting. Dans ce dernier, on retrouve notamment une ex-James Bond girl, la magnifique actrice ukrainienne Olga Kurylenko (Oblivion, A perfect day, Un jour comme un autre, etc.), Denis Ménochet (Inglourious Basterds, Robin des Bois, etc.), Fabrice Luchini, mais aussi Patrick Chesnais, le comédien allemand August Dielhl, James Thierrée (déjà aperçu dans le coin pour le tournage de Chocolat, Ndlr) et Freya Mavor (Cézanne et moi).
Roi de l’évasion… et de l’esquive !
Il y a un an, l’équipe du film avait littéralement investi le quartier de la cathédrale Saint-Maclou. Plusieurs Pontoisiens ayant croisé le comédien Vincent Cassel dans le centre de la ville d’Art et d’Histoire, ont bien tenté d’immortaliser leur rencontre, en vain…
« Désolé, je ne fais pas de photo, sorry ! » C’est la réponse, au mot près, obtenue par tous les fans et intéressés.
Même Didier, un passionné de 7e art qui ne manque jamais le moindre tournage en quête de photos de stars, a essuyé plusieurs refus de la part de Vincent Cassel. Le Valdoisien a pourtant attendu de nombreuses heures devant l’une des sorties de la cathédrale, en vain. Il a même été légèrement chahuté par un technicien.
« Je vais quand même aller voir le film au cinéma pour voir ce que ça donne », confie le fan de cinéma, pas vraiment rancunier.
Jo.C.
Le film est diffusé au Cinéma Henri-Langlois de Franconville ainsi qu’aux Écrans Éluard de Bezons.